Le FPP et les organisations signataires du monde entier ont envoyé une lettre ouverte à WWF International, demandant des enquêtes approfondies, justes et transparentes sur les graves allégations d’abus dans les projets de WWF au Cameroun, au Népal, en Inde et ailleurs.
La lettre appelle à repenser l’approche de la conservation, à respecter et à protéger les droits des peuples autochtones et des communautés locales, et à reconnaître et à soutenir le rôle des peuples autochtones dans la gestion de leurs propres territoires et terres.
Les organisations signataires sont les suivantes :
- Forest Peoples Programme (Royaume-Uni)
- International Work Group on Indigenous Affairs (Danemark)
- Well Grounded (Royaume-Uni)
- Almáciga (Espagne)
- Natural Justice (Mondial)
- Lawyers Association for Human Rights for Nepalese Indigenous Peoples (LAHURNIP) (Népal)
- Asia Indigenous Peoples Pact (AIPP) (Asia regional)
- Cheptikale Indigenous Peoples Development Project (CIDPD) (Kenya)
- Sengwer Indigenous Peoples Programme (SIPP) (Kenya)
- Instituto de Defensa Legal (IDL) (Perou)
- Association Okani (Cameroun)
- Réseau des Populations Autochtones et Locales pour la Gestion des Ecosystèmes Forestiers d’Afrique Centrale (REPALEAC)
- United Organisation for Batwa Development in Uganda (UOBDU) (Ouganda)
- New Wind Association (Finlande)
- Emmaus Aurinkotehdas Ry (Finlande)
